Consultation de choc

Catégories : FETICHISMES au pluriel Enema Lavement / Médical
il y a 6 ans

Elle me hantait depuis cette fois où elle m’avait ausculté. Toujours célibataire, je me branlais régulièrement en pensant à elle. Sa consultation avait crée une nouvelle obsession chez moi : les infirmières et les soins médicaux. Il fallait que je la revois, absolument. Elle m’avait dit de ne plus venir la revoir pour des problèmes d’érection. Mais en cette période de grippe, j’avais mon alibi. Un mardi soir, le cœur battant, je décrochais mon téléphone pour prendre rendez-vous. Une voix de secrétaire se fit entendre et je demandai une consultation le plus rapidement possible pour un état grippal. Elle me donna rendez-vous le lendemain, vers 17h. J’étais aux anges.

Je sortis du boulot plus tôt que d’habitude avec déjà un semblant d’érection. Je pris la voiture et roulai en dépassant les limites de vitesse. Il me suffisait de la revoir, qu’elle me touche ne serait ce que la gorge, le bras, n’importe. Elle était tellement sexy. Je garai ma 207 sur le petit parking du cabinet et m’avança pour sonner et pousser la lourde porte en PVC. Il flottait un parfum de naphtaline dans la salle d’attente. Je m’assis et pris machinalement un magazine. J’entendis des voix s’avancer de plus en plus distinctement dans le couloir puis la poignée s’abaissa. Que fut ma surprise lorsque je vis mon médecin habituel, ce vieux monsieur grisonnant.

« Ah monsieur, bonjour, avancez. Comment allez vous ? Vous savez que les Seychelles, c’est magnifique ? »

Ma demi-molle disparue sur le champs. Dans ma précipitation, j’avais complètement oublié qu’elle n’était qu’une remplaçante ! Un peu honteux, je suivis les demandes du médecin qui m’ausculta en me parlant de son dernier voyage en date.

« Vous avez une petite rhino rien de plus, dit il pendant que nous nous réinstallions à son bureau. Je vois que vous êtes venu lorsque j’étais en congé. Des problèmes d’érection. Ma remplaçante à t-elle été compétente ?

« Oui, oui elle m’a bien orienté. Elle était très bien.

« Vous savez que je pars à la retraite en fin de moi et c’est elle qui va prendre ma suite

« Elle n’est pas trop jeune ?

« Non, elle a une trentaine d’année.

« Ah bah très bien alors

« Mais ces problèmes d’érection, voulez vous que j’y jette un coup d’oeil ?

« Non ça ira merci

« Parfait, 23 euros s’il vous plais »

Nous nous saluâmes à l’entrée d’une poignée de main.

J’étais ravis de cette nouvelle. Elle allait être mon nouveau médecin traitant ! Fantastique ! Mais il allait falloir attendre la fin du mois. Tant pis. Je réussis à attendre le milieu du mois suivant, histoire d’être sur que l’autre vieux était bien parti en retraite. J’eus de nouveau la secrétaire un matin et eut mon rendez-vous le soir même. Plutôt rapide. Vers 18h, j’étais installé de nouveau dans la salle d’attente et enfin, après 10 minutes d’attente rêveuse, c’est enfin elle qui m’ouvrit. Je la reconnu tout de suite, malgré quelques changements d’ordre ésthétiques. Elle avait les cheveux qui avaient poussés mais elle se les étaient attachés en queue de cheval. Elle portait une blouse verte claire à boutons blancs avec un col mao. Cette blouse était déboutonnée au quart pour laisser un peu de place à cette imposante poitrine et descendait jusqu’en haut des genoux. Ses jambes était nues.

« Bonjour monsieur. On se connaît non ? »

-Oui

« Allez y entrez »

Je m’exécutai et elle me suivit en faisant claquer ses talons sur le sol.

« Bon, qu’est ce qui vous amène ? Demanda t-elle en s’asseyant sur son fauteuil en cuir.

« Heu et bien... » j’étais troublé.

« Oui ?

« Hum... je me raclais la gorge pour me donner une contenance

« Toujours ce syndrome de la blouse blanche ? Regardez, celle que je porte est verte, tout va bien, plaisanta t-elle.

« Ah ah ah...

« Alors ? Pas de raison particulière ?

« Hé bien...

« Toujours ces problèmes d’ordre intime ?

« C’est-à-dire que...

« N’en dite pas plus, si vous êtes gêné. Toujours pas de viagra ?

« Non

« Allez vous déshabiller à côté, je vous rejoins. »

Alors c’était bon ? Je n’avais rien dit et je me retrouvais à me désaper dans son cabinet ? Elle était plus sur d’elle, plus directive, plus détendue aussi et c’était excitant. J’attendis en caleçon assis sur la table d’examen.

« Ah, enlevez votre caleçon tout de suite, c’est là-dessous que sont vos problèmes ! » dit elle en souriant.

Décidément, elle était d’humeur à plaisanter. Je me remis debout pour enlever mon boxer et le poser sur la chaise tandis qu’elle dépliait les étrier métallique de la table.

« Bien revenez vous asseoir »

Elle me fit un examen de routine, check up complet allant des amygdales au rythme cardiaque. Le contact de ses mains douces sur les parties de mon corps était délectable.

« Vous êtes sur d’avoir des problèmes d’érection ? » demanda t-elle

Sa question était légitime puisque mon sexe était dressé et touchait mon bas ventre. Mes bourses étaient bien tendues.

« Je ne sais pas »

Voilà tout ce que je trouvais à dire

Elle me décalotta et palpa mes bourses rapidement en regardant dans le vide.

« Tout va bien ici. J’espère que vous ne me faite pas perdre mon temps. Pourquoi avez vous pris rendez-vous exactement ?

« Je pense toujours à vous, au dernier examen que vous m’avez fait. Ça m’obsède...

« Ça vous avais soulagé au moins ?

« Oui, je bande, me masturbe et j’éjacule depuis

« C’est déjà ça. Et donc pas de nouvelle partenaire sexuelle ? »

« Aucune

« Bien, j’ai quelque chose pour vous, du nouveau matériel. C’est un peu brutal mais je crois que ça serait parfait. C’est un traitement expérimental pour les impuissants, mais aussi pour les accros au sexe. D’abord je vais vous examiner et on passera dans la salle consacrée au traitement. Allez, détendez vous, allongez vous, je vais m’occuper de votre cas maintenant que vous êtes là. »

Quelle douceur dans la voix. J’étais aux anges. Allongé, nu comme un verre, elle me palpa longuement l’abdomen. De ses deux mains superposées, elle appuya au niveau de l’estomac, des intestins puis de la vessie. Puis entreprit quelque chose qu’elle n’avait pas fait la dernière fois : me raser. Après avoir enfilé ses gants, elle badigeonna mon pubis ainsi que tout mon anus d’eau tiède puis de mousse à raser.

« ça facilite l’examen et évite les infections. »

Alors elle me rasa entièrement. J’avais le pubis ratiboisé et l’anus luisant. Elle prit ma température rectale puis vint fouiller mon rectum d’un doigt attentif et précis. Sa dernière phalange arriva à ma prostate. Je sentais la tension, la fermeté de mon organe s’intensifier sous ses palpations.

« Vous avez déjà l’anus dilaté. Effectivement. Je vous fais tant d’effet que ça ? »

J’étais déjà prêt à éjaculer.

« Calmez vous. Ce n’est pas le moment »

Elle retira son doigt.

« Pour l’exercice que je vais vous proposer, je vais devoir dilater un peu plus votre anus, mais vous me facilitez le travail c’est agréable. D’abord, un petit lavement »

Ce fut court. Elle se contenta de deux injections d’eau tiède avec une petite pompe avant de me demander d’aller aux toilettes. De nouveau installé dans les étriers, elle prit un spéculum à trois branches et me l’enfonça progressivement dans l’anus. C’était froid. La sensation de l’écartement n’avait pas était aussi intense la dernière fois.

« Ce speculum est à trois branches, ça permet un écartement plus important. Je sais, c’est un peu plus douloureux. Mais ça va bien vous dilater. On va y aller doucement. »

Je sentais l’air s’introduire dans mon rectum. Il était difficile d’apprécier la dilatation, à quel point j’étais ouvert.

« Voilà, vous êtes environ à 7 cm, c’est suffisant. Je vais le bloquer et vos sphincter vont se détendre de la sorte pendant que je vais préparer le dispositif. »

Elle regarda tout de même à l’intérieur de mon rectum.

« C’est bien propre et aucune anomalie n’est à signaler. Allez je reviens. »

Elle passa la porte qui était au fond du cabinet. Au bout d’un moment, je ne sentais plus l’écartement, la sensation avait disparu. J’avais commencé à me caresser le sexe, tout doucement, pour maintenir l’érection. Elle revint dans la pièce et me demanda comment ça allait. Je me sentais bien. Elle retira doucement le spéculum et m’examina de nouveau avec ses doigts.

« Bien, je vais vous passer un ballonet pour terminer la dilatation, afin que vous soyez bien prêt pour la suite. »

En faisant rouler son tabouret, elle se propulsa jusqu’à ses tiroirs et sortit un plug gonflant. De la même manière elle revint prêt de la table et lubrifia l’instrument. Progressivement mais assez aisément, elle fit pénétrer le plug dans mon intimité.

« Voilà, je vais le gonfler et vous allez le faire ressortir tranquillement. On va faire travailler vos sphincters ainsi. »

Au départ je ne sentis rien. J’entendais le son de la pompe. Puis une légère pression dans mon rectum. Elle était attentive à mes expressions. Puis elle bloqua la pompe. Je sentais ce ballon remplir mon anus, c’était assez étrange.

« Allez, ressortez le. »

Alors tout doucement, je sentis le ballonet s’expulser, de la même manière que quand j’expulsais une selle aux toilettes. A un moment, c’était un peu douloureux et il fallait que je respire d’avantage pour m’éviter des tiraillements trop désagréables.

« Très bien continuez, je sais c’est un peu éprouvant. »

Nous continuâmes ainsi à cinq reprises, le ballon toujours un peu plus gonflé.

« Allez c’est bon, vous allez vous relever et me suivre. »

Elle m’emmena dans la salle où elle venait d’aller. Je fus surprise par le dispositif qu’elle me présentait. Ça faisait légèrement instrument de torture mais j’avais un penchant pour la domination. C’était un fauteuil avec accoudoir. Enfin, ça ressemblait à une chaise électrique. Sur l’assise se dressait une forme phallique en métal.

« Asseyez vous » m’ordonna t-elle après avoir lubrifié le plug.

Je compris alors la démarche de la dilatation. Il fallait que je puisse m’asseoir facilement sur cet engin érotique. Je m’exécuta et effectivement, le travail en amont avait porté ses fruits. Je sentis la tige pénétrer mon rectum jusqu’à ce que mes fesses soit bien posées sur la siège. Elle m’attacha ensuite les bras aux accoudoirs et m’écarta les yeux avec deux petits engins métalliques.

« Pour qu’il ne s’assèchent pas, je vous mettrais du sérum physiologique régulièrement pendant la séance. »

Devant mes yeux un écran. A côté, un poste de contrôle, des boutons, d’autres écrans, un fauteuil. Elle me posa des électrodes minutieusement sur le crâne, puis de plus gros sur la poitrine et l’abdomen.

« Vous vous souvenez de la dernière séance, nous avions fait de l’électro stimulation et cela avait été plutôt convaincant. Nous allons recommencer en complétant le dispositif par des stimuli visuels et une sonde urétrale. »

Elle m’apposa les même électrodes que la dernière fois sur le pénis et à la base des bourses. J’appréhendais un peu le passage de la sonde, d’autant plus que mon érection avait quelque peu baissé. Le médecin arrangea ça en m’apposant une pompe sur le pénis. Par quelques tractions d’air sous vide, mon sexe se retrouva dressé à son maximum.

« Cela va me faciliter l’insertion de la sonde »

Elle me passa un produit désinfectant après avoir entouré la base de mon sexe d’un tissu vert. Puis elle lubrifia le bout de mon gland en passant la sonde dessus.

« Respirez à fond et essayer de vous détendre »

Alors elle enfonça la fine tige dans mon urètre. Arrivé au bout, je poussais un soupir de douleur.

« C’est très bien. C’est une sonde électrique. Vous êtes également assis sur un plug électronique. Vous sentirez des vagues de chaleur et votre anus se contracter. Faites moi un signe de tête si cela est douloureux. Tenez, ouvrez la bouche » dit elle en prenant un écarteur qu’elle me coinça dans la mâchoire.

« Cela évitera que vous vous mordiez la langue »

Je ne pouvais plus parler. Accoutré le la sorte, elle alluma ses machines et nous commençâmes la séance.

« Je me suis brancher sur votre adresse ip pour importer votre historique et vous projeter vos préférence. Un programme recherchera d’autres vidéos qui seront susceptibles de vous plaire. Les électrodes vous vous stimuler et moi je vais contrôler vos constantes. Bien allons y... »

Après un court instant, une vidéo débuta sur l’écran. C’était celle d’une mise en scène entre une patient et son infirmière.

« Je comprend mieux ! » dit elle en regardant son écran.

Elle tourna quelques boutons et je sentis alors les électrodes faire leur effet. Mon anus commença à se contracter sous l’effet du plug et je sentis des picotements dans mon sexe, qui se dressa plus vaillamment encore. Avec la sonde à l’intérieur de ma queue, mes veines donnaient l’impression qu’elles allaient exploser. Les vidéos continuaient, entre fétichisme médical et séance de domination. Elle me mit du sérum physiologique puis elle retourna devant ses écrans.

« J’espère que vous en aurez pour votre compte »

J’étais stimulé de toutes parts. Mais pour jouir j’aurais la voir nue à nouveau. Les vidéos je les connaissais. Alors à ma grande surprise, elle apparu sur l’écran.

« Mon logiciel reproduit les images mentales. C’est fabuleux n’est ce pas ? »

Devant mes yeux, elle ôtait sa blouse et découvrait sa légère toison. Puis elle mettait une main entre ses cuisses pour se stimuler. Elle vint vers moi pour prendre mon rythme cardiaque avec son stéthoscope puis ma tension artérielle avec son tensiomètre.

« Bien, je n’ai pas l’impression que l’électro stimulation fonctionnera aujourd’hui. Voyons pour une stimulation manuelle. »

Elle quitta son poste de contrôle pour m’enlever les électrodes et la sonde. Je restais assis avec le plug dans le cul. Elle enfila un gant puis elle commença à me masturber.

« Allez, à la vue de vos constantes, vous y êtes presque. »

Elle appuya sur un bouton à ses pied qui fit basculer le fauteuil vers l’arrière, puis descendre l’assise, de manière à ce que le plug se retire de mon cul. J’avais alors les jambes dans le vide mais elle vint les soutenir en greffant des étriers à son fauteuil. Elle m’y attacha les jambes. Elle enfila un autre gant et plongea d’office trois doigts dans mon anus dilaté.

« Votre anus est bien détendu. Je vais aller un peu plus loin. »

Elle glissa un quatrième doigt et je sentais la pression monter à l’intérieur, c’était jouissif. Elle fit des allers et venus et réussit, il me semble, à y mettre la main pour l’enfoncer dans mon anus. Puis elle enleva deux doigts pour se contenter, avec les deux restants, de stimuler ma prostate.

« C’est dur comme de la pierre ici »

Je tentais de dire « je vais jouir » mais avec son écarteur de bouche, ce fut incompréhensible. Elle comprit mon intention. Elle le sentait à l’intérieur de moi, elle le contrôlait et ne m’en laissait pas le choix.

« Oui allez y, vous êtes là pour ça »

Un jet de sperme s’étala de la base de mon pubis jusqu’à ma poitrine et je fus pris de spasmes de plaisir. Mes jambes tremblaient sur les étriers et ma bouche émettait des sons caverneux. Elle ôta ses doigts doucement et jeta ses gants. L’écran devant moi s’était éteint. Elle reprit mes constantes, dont ma température rectale, puis me libéra de mes contraintes. Je repris mes esprits tranquillement puis elle m’aida à me relever.

« Vous ressentirez quelques douleurs à l’anus et au pénis dans les prochaine heurs, vos sphincters seront quelque peu endoloris. Mais rien de méchant vu que nous avons bien travaillé la dilatation. Si il y a quelque chose d’anormal, perte de sang, ne paniquez pas et appelez moi On va refixer un rendez-vous pour voir comment le retour à la normal se passe et si ce traitement vous a aidé.

« Très bien » dis-je tout retourné encore. J’avais presque le vertige.

J’étais ravis. Nous posions un rendez-vous pour dans deux semaines et je me retirai du cabinet, enfin vide de toutes pensées érotiques, vidé dans les deux sens du terme !

Lou Alexandre

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement